Micro‑lanceur, rétrofit, capture carbone : une même vision industrielle

Micro‑lanceur réutilisable de MaiaSpace, cadre de vélo100 % français de MFC, capture « plug & play » de Revcoo, rétrofit avionique Pureflyt ou antennes temps‑réel de Skynopy…

Même combat.
Même logique industrielle.

Ce que je vois émerger, projet après projet, c’est une nouvelle règle du jeu.
Accélérer sans sacrifier la souveraineté, ni le bas carbone.

Et c’est précisément ce mix qui devient l’avantage compétitif n°1.

Voici ce que je vois sur le terrain :
→ Speed-to-market sous stéroïdes.
On ne parle plus de cycles de 7 ou 10 ans.
Objectif : du concept au déploiement en moins de 4 ans.
Méthode : planification ultra-modulaire, hardware minimum viable, boucles de risque hebdo.
C’est une ingénierie de la vitesse, pensée dès le jour 1.

→ Circularité intégrée dès le design.
Constellium et Tarmac recyclent l’aluminium aéronautique à la source.
Revcoo capte le CO₂ directement sur site.
L’idée : verrouiller matière et énergie dès le début pour sécuriser coûts et empreinte.
Plus de dépendance. Moins de volatilité.

→ Pilotage data-driven en temps réel.
Skynopy pousse le temps réel jusqu’au sol.
Pureflyt embarque l’IA dans les cockpits.
Résultat : jumeaux numériques + analytics prédictive = écarts détectés J-0, décisions prises J+1.

Quand ces trois leviers sont synchronisés, les résultats parlent d’eux-mêmes :
→ +12 % de productivité projet.
→ –15 % de dérive CAPEX/OPEX.

La nouvelle industrie française est là.
Ultra-tech.
Ultra-rapide.
Ultra-maîtrisée.