Berlin fonce, Paris piétine.

→ 86 Md € pour 2025.
→ 649 Md € d’ici 2029.
→ 36 tronçons F-35 / an.
→ 350 000 obus 155 mm / an.

L’Allemagne verrouille déjà ses chaînes : Rheinmetall-Lockheed pour HIMARS, Diehl-Safran pour munitions intelligentes, Kongsberg pour le JSM, TKMS-Fincantieri pour les sous-marins.

La France ? 50,5 Md €, aucune loi d’achat express, SCAF et MGCS encore en négociation.
La DGA peine à se moderniser.
Certains industriels hésitent à mettre leurs propres fonds.
Les partenariats tournent au ralenti, quant les entreprises françaises ne sont pas rachetées par des étrangères

Chaque trimestre d’inaction creuse l’écart industriel.

Pourtant les leviers existent.
Contrats-cadres flexibles.
Prototypes en 18 mois.
Cofinancement public-privé.

On peut faire plus, plus vite, avec moins.
Optimiser les programmes complexes pour gagner des mois et économiser des millions.
Réduire ses délais
Rendre agile sa chaine de valeur
Aider ses partenaires
Modulariser ses produits

Les guerres actuelles montrent l’écart entre l’arme d’élite isolée et la masse abordable.
Drones low-cost, artillerie de saturation, essaims de munitions vagabondes changent la donne.

Notre doctrine doit rééquilibrer technologie de pointe et volume compétitif tout en adaptant ses méthodes.